Société générale en Afrique : une « vente par appartements » à pas comptés

En se resserrant autour de trois bastions forts en Afrique, le groupe français parviendra-t-il à redresser la barre ? Pour l’instant, sa marche à rebours est similaire à la stratégie des autres banques tricolores – BNP Paribas, Crédit agricole – qui ont quitté le continent.

Au siège de la Société générale de Banque en Côte d’Ivoire (SGBCI), le 10 décembre 2018, à Abidjan. © Olivier pour JA

Au siège de la Société générale de Banque en Côte d’Ivoire (SGBCI), le 10 décembre 2018, à Abidjan. © Olivier pour JA

NADOUN-COULIBALY_2024

Publié le 26 août 2024 Lecture : 6 minutes.

L’issue du « recentrage » de Société générale – mastodonte bancaire à plus de 1 500 milliards d’euros d’actifs au bilan –, engagé depuis plusieurs mois en Afrique, ne fait plus guère illusion. « C’est la fin de Société générale, une marque de référence. Le groupe part, mais les autres entités françaises – TotalEnergies, Orange, Bolloré, etc. – continuent d’opérer en Afrique « , affirme un banquier

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