À l’Union africaine, la bataille pour les postes a (déjà) commencé
Alors que les attentions sont focalisées sur la succession de Moussa Faki Mahamat à la tête de la Commission de l’Union africaine, de nombreux autres postes attirent également les convoitises. Entre les prétendants et leurs États, la compétition s’annonce rude.
L’actuel président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, le président du Sénégal d’alors, Macky Sall, et la directrice de la communication de l’UA, Leslie Richer, en février 2022, à Addis-Adeba (Éthiopie). © REUTERS/Tiksa Negeri
Si les noms des quatre candidats à la succession, début 2025, de Moussa Faki Mahamat au poste de président de la Commission de l’Union africaine (UA) sont désormais connus – le Kényan Raila Odinga, le Djiboutien Mahmoud Ali Youssouf, le Mauricien Anil Kumarsingh Gayan et le Malgache Richard Randriamandrato –, la guerre des lobbies fait rage en coulisses pour les positions inférieures, mais tout
