Investissements dans la santé : une Afrique à deux vitesses  

Quatre ans après l’épidémie de Covid-19 et en dépit de quelques opérations d’envergure, le secteur de la santé peine à attirer les investisseurs. Faute de continuité dans les politiques publiques et d’efforts à l’échelle continentale, le fossé entre les marchés de pointe et les autres pays risque de se creuser encore.

Des membres du personnel médical de l’hôpital militaire de campagne à Nouaceur, au sud de Casablanca, vérifient l’équipement alors qu’ils se préparent à recevoir des patients atteints du Covid-19, le 18 avril 2020. © FADEL SENNA/AFP

Des membres du personnel médical de l’hôpital militaire de campagne à Nouaceur, au sud de Casablanca, vérifient l’équipement alors qu’ils se préparent à recevoir des patients atteints du Covid-19, le 18 avril 2020. © FADEL SENNA/AFP

AURELIE-BENOIT_2024

Publié le 28 août 2024 Lecture : 5 minutes.

Le secteur africain de la santé est-il à ce point malade qu’il décourage les investisseurs ? Le continent ne manque pourtant pas d’atouts : il est en croissance démographique, en transition épidémiologique – les maladies non transmissibles deviendront la principale cause de mortalité et de morbidité d’ici à 2030 – et sa classe moyenne s’élargit.

Afrique du Sud et Maroc parmi les « Big Five »

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