Migrants ghanéens tués en Gambie : le jugement en demi-teinte de la Cour de la Cedeao

Le jugement de la Cour de la Cedeao, qui a sommé Accra de divulguer toutes les informations dont il dispose sur le massacre de 2005, constitue une demi-victoire pour les familles de victimes. Elles demandent à présent qu’on les indemnise au plus vite.

Yahya Jammeh, en 2009, quand il était encore président de la Gambie. © Carlos Garcia Rawlins/REUTERS

Yahya Jammeh, en 2009, quand il était encore président de la Gambie. © Carlos Garcia Rawlins/REUTERS

Publié le 25 août 2024 Lecture : 4 minutes.

Le 22 juillet 2005, des migrants d’Afrique de l’Ouest, parmi lesquels 44 Ghanéens, étaient torturés et assassinés en Gambie. Aujourd’hui, la Cour de justice de la Cedeao donne quatre mois au gouvernement ghanéen pour qu’il divulgue toutes les informations capitales dont il dispose à ce sujet.

L’affaire a été portée en justice par Isaac Mensah (dont le père, Peter Mensah, fait partie des victimes)

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

Contenus partenaires