Au Maroc, la France et l’Espagne croisent le fer sur le terrain des infrastructures

LE MATCH – Après avoir cédé du terrain face à Pedro Sánchez, Emmanuel Macron s’est rattrapé en actant le soutien de Paris au plan d’autonomie marocain pour le Sahara. De quoi contrarier les ambitions de l’Espagne, qui lorgne de juteux marchés dans les infrastructures et dans l’énergie au Maroc.

Emmanuel Macron (à gauche) et Pedro Sánchez. © MONTAGE JA : Eric TSCHAEN-POOL/SIPA ; SOPA Images/SIPA

Emmanuel Macron (à gauche) et Pedro Sánchez. © MONTAGE JA : Eric TSCHAEN-POOL/SIPA ; SOPA Images/SIPA

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Publié le 26 août 2024 Lecture : 5 minutes.

Après plusieurs mois de négociations et de reports, le verdict est tombé le 1er août : c’est le groupement constitué du français Egis, de son compatriote Systra et du marocain Novec qui rafle le contrat d’assistance à maîtrise d’ouvrage pour les infrastructures de la ligne à grande vitesse entre Kénitra et Marrakech. Lancé par l’Office national des chemins de fer (ONCF), ce marché de près de 1,4

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