Entre Bozizé et Touadéra, le coup de bluff d’Ali Darassa ?

Fin juillet, Ali Darassa a fait part de son intention de rendre les armes et de négocier avec le pouvoir de Faustin-Archange Touadéra. Mais à quoi joue vraiment le leader rebelle, ouvertement désavoué par l’ancien président François Bozizé ? Coulisses.

Ali Darassa, le chef du groupe armé de l’Union pour la paix en République centrafricaine (UPC), dans sa base de Bokolobo, près de Bambari, le 16 mars 2019. © FLORENT VERGNES/AFP

Ali Darassa, le chef du groupe armé de l’Union pour la paix en République centrafricaine (UPC), dans sa base de Bokolobo, près de Bambari, le 16 mars 2019. © FLORENT VERGNES/AFP

MATHIEU-OLIVIER_2024

Publié le 28 août 2024 Lecture : 3 minutes.

En Centrafrique, Ali Darassa a surpris tout le monde. Le 26 juillet, dans un communiqué signé au nom de la Coalition des patriotes pour le changement (CPC, mouvement rebelle dont il fait partie), le chef de groupe armé s’est déclaré ouvert à des pourparlers avec le gouvernement centrafricain de Faustin-Archange Touadéra, et ce « afin de ramener la paix et la cohésion sociale » dans le pays.

Bis

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