Le massacre de Barsalogho peut-il fragiliser Ibrahim Traoré ?
Depuis l’attaque jihadiste du 24 août, qui a fait plus de 300 morts, le président de la transition burkinabè s’est muré dans le silence. De nombreuses personnalités se sont pourtant indignées de la lourdeur de ce bilan et ont exprimé leur colère.
C’est l’attaque jihadiste la plus meurtrière jamais commise sur le sol burkinabè. Il y a moins d’une semaine, samedi 24 août, plus de 300 personnes – des civils pour la plupart – ont été tuées à Barsalogho, dans le centre-nord du Burkina Faso. Et, fidèle à lui-même, le capitaine Ibrahim Traoré n’en a publiquement pas dit un mot.
Ce silence est bien la marque de fabrique de ce jeune capitaine, qui,
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