Au Sénégal, premier revers pour Bassirou Diomaye Faye à l’Assemblée

La proposition de loi sur la suppression de deux institutions « budgétivores » a été rejetée le 2 septembre par les députés. Cela ouvre-t-il la voie à une dissolution de l’Assemblée ?

Début de l’examen de la proposition de loi d’amnistie à l’Assemblée nationale à Dakar, le 6 mars 2024. © JOHN WESSELS/AFP

Début de l’examen de la proposition de loi d’amnistie à l’Assemblée nationale à Dakar, le 6 mars 2024. © JOHN WESSELS/AFP

MARIEME-SOUMARE_2024

Publié le 3 septembre 2024 Lecture : 5 minutes.

Le député d’opposition Nicolas Ndiaye l’avait prédit dans la matinée : « Ils n’auront pas la majorité requise ! Ils ne vont pas supprimer ces institutions ! » Ses collègues de l’Assemblée nationale lui ont donné raison. Mais l’issue avait beau avoir l’air joué d’avance, il aura fallu près de douze heures de débat pour en arriver là.

Au Sénégal, la rentrée parlementaire de ce 2 septembre a débuté

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