IA, digitalisation… En Chine, le vice-président ivoirien plaide pour un partenariat renforcé

Alors que Pékin et Abidjan ont noué depuis plusieurs années de solides relations, le vice-président ivoirien, qui représente le chef de l’État Alassane Ouattara au Focac, a estimé qu’elles doivent « évoluer avec le temps » et « répondre aux exigences du futur ».

Le vice-président ivoirien Tiemoko Koné à Pékin durant le FOCAC 2024. © Tiemoko Meyliet Koné

Le vice-président ivoirien Tiemoko Koné à Pékin durant le FOCAC 2024. © Tiemoko Meyliet Koné

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Publié le 5 septembre 2024 Lecture : 3 minutes.

Pékin accueille le Forum sur la coopération sino-africaine 2024 (FOCAC) du 4 au 6 septembre. © REUTERS/Tingshu Wang
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Sommet Chine-Afrique 2024 : les illusions perdues

Chute des prêts souverains, balance commerciale structurellement déficitaire, investissements prudents… Alors que Pékin accueille les dirigeants du continent du 4 au 6 septembre 2024, l’hyperactivisme chinois en Afrique a du plomb dans l’aile. Le continent peut-il encore attendre quelque chose de cette grand-messe politico-économique ?

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Tiémoko Meyliet Koné persiste et signe. Le vice-président ivoirien a réaffirmé son intention de BCX0" lang="FR-FR" xml:lang="FR-FR" data-contrast="none">« renforcer [le] partenariat stratégique, basé sur une collaboration économique plus forte, plus diversifiée et surtout, plus durable » entre la Côte d’Ivoire et la Chine.

Une déclaration faite le 4 septembre en marge du Forum sur la coopération sino-africaine (Focac 2024), auquel participe une

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