« Abdelmadjid Tebboune n’a pas de programme économique, il n’est pas le candidat d’un parti mais celui du régime »

Perspectives économiques, réformes de l’État social, dépendance au pétrole… À la veille de l’élection présidentielle algérienne du 7 septembre, la chercheuse associée au CNRS Fatiha Talahite dépeint, sans concession, un pays à la croisée des chemins.

Le président algérien Abdelmadjid Tebboune à Borgo Egnazia, lors du sommet du G7 organisé par l’Italie, à Savelletri, dans la région des Pouilles, le 13 juin 2024. © Ludovic MARIN / AFP

Le président algérien Abdelmadjid Tebboune à Borgo Egnazia, lors du sommet du G7 organisé par l’Italie, à Savelletri, dans la région des Pouilles, le 13 juin 2024. © Ludovic MARIN / AFP

THAIS-BROUCK_2024

Publié le 6 septembre 2024 Lecture : 12 minutes.

Alors que les Algériens sont appelés à voter pour l’élection présidentielle samedi 7 septembre, la campagne a fait la part belle aux promesses sociales financées par la manne des hydrocarbures. Suffisant pour faire décoller l’économie algérienne ? Jeune Afrique a posé la question à l’économiste Fatiha Talahite, l’une des plus grandes spécialistes du pays.

Précédemment chercheuse senior au CNRS,

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