Comment le Cameroun planifie la reprise en main de son secteur électrique

Alors que l’opération de rachat des parts (51 %) du fonds britannique Actis n’attend plus que l’arbitrage du président Paul Biya pour être bouclée, le gouvernement camerounais a engagé le recrutement d’un consultant pour auditer l’énergéticien détenu à 44 % par l’État.

Le siège d’Eneo à Douala. © Minette Lontsie / Creative Commons

Le siège d’Eneo à Douala. © Minette Lontsie / Creative Commons

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Publié le 10 septembre 2024 Lecture : 3 minutes.

Le gouvernement camerounais se projette d’ores et déjà dans « l’après-Actis », désireux de céder les 51 % de parts qu’il détient chez Energy of Cameroon (Eneo). Le 4 septembre, il a lancé un appel à manifestation d’intérêt pour recruter un consultant chargé de la réalisation d’un audit général et d’un plan de redressement interne de l’énergéticien, dont l’État détient 44 % des parts.

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