Esclavage : en Guadeloupe, un nouveau souffle pour le Mémorial ACTe ?

En pleine restructuration après avoir été le théâtre de plusieurs affaires judiciaires, financières et politiques, le Centre caribéen d’expressions et de mémoire de la traite et de l’esclavage pourrait bien renaître de ses cendres.

« Chaîne d’esclaves à quatre jougs », une pièce du XIXe siècle provenant du couvent vaudou Dexue d’Adounko, au Bénin. © Christel JEANNE / Divergence

« Chaîne d’esclaves à quatre jougs », une pièce du XIXe siècle provenant du couvent vaudou Dexue d’Adounko, au Bénin. © Christel JEANNE / Divergence

eva sauphie

Publié le 1 novembre 2024 Lecture : 8 minutes.

Charming Betty, Dolphin, Charmante, Légère, SuperbeCes noms à connotation enchanteresse renvoient pourtant aux heures les plus sombres de l’histoire de la Guadeloupe. Ce sont ceux des bateaux négriers qui amenèrent des milliers d’Africains captifs sur les rives de cette île des Antilles françaises au cours des XVIIe et XVIIIe siècles. Au total, ce sont les noms de 64 navires qui ont été recensés

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