Après la crise de la Banque centrale libyenne, la Tunisie se prépare au pire

Le remplacement de l’ancien gouverneur de la Banque centrale de Libye (BCL), fin août, à Tripoli, n’a pas que des répercussions politiques. La crise qu’il a déclenchée aura des conséquences potentiellement désastreuses pour le marché tunisien.

Une vue du siège de la banque centrale de Libye à Tripoli, le 27 août 2024. © AFP

Une vue du siège de la banque centrale de Libye à Tripoli, le 27 août 2024. © AFP

MATHIEU-GALTIER_2024

Publié le 12 septembre 2024 Lecture : 4 minutes.

D’un côté, 7 millions de Libyens privés potentiellement de nourriture et de médicaments. De l’autre, 1 200 entreprises tunisiennes qui perdent leur cinquième marché d’exportation. La lutte pour la mainmise de la Banque centrale de Libye (CBL) entre les gouvernements de Tripoli et de Benghazi risque de se transformer en crise généralisée. Au point que l’ONU multiplie les médiations, comme s’il

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