Après la crise de la Banque centrale libyenne, la Tunisie se prépare au pire
Le remplacement de l’ancien gouverneur de la Banque centrale de Libye (BCL), fin août, à Tripoli, n’a pas que des répercussions politiques. La crise qu’il a déclenchée aura des conséquences potentiellement désastreuses pour le marché tunisien.
D’un côté, 7 millions de Libyens privés potentiellement de nourriture et de médicaments. De l’autre, 1 200 entreprises tunisiennes qui perdent leur cinquième marché d’exportation. La lutte pour la mainmise de la Banque centrale de Libye (CBL) entre les gouvernements de Tripoli et de Benghazi risque de se transformer en crise généralisée. Au point que l’ONU multiplie les médiations, comme s’il
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