Pétrodollars contre forêts : comment l’Afrique peut (vraiment) profiter des crédits carbone

Alors que les entreprises de la planète s’empressent de compenser leurs émissions de gaz à effet de serre dans la course au « net zero », le bassin du Congo est devenu l’un des atouts naturels les plus importants du continent.

Vue aérienne de la Bonobo Peace Forest, dans la province de Tshuapa, en RDC, le 14 octobre 2023. © Gwenn Dubourthoumieu

Vue aérienne de la Bonobo Peace Forest, dans la province de Tshuapa, en RDC, le 14 octobre 2023. © Gwenn Dubourthoumieu

Kanika Saigal

Publié le 14 octobre 2024 Lecture : 6 minutes.

S’étendant sur 2 millions de kilomètres carrés répartis entre le Cameroun, la République centrafricaine, la RDC, le Gabon, la Guinée équatoriale et la République du Congo, le bassin du Congo est l’un des plus grands puits de carbone au monde, absorbant plus de dioxyde de carbone de l’atmosphère qu’il n’en émet. Il est devenu un point central du marché florissant des crédits carbone, un dispositif

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