Guerre civile au Liban : « Ce qui m’importe c’est qu’on n’oublie pas »

Dans un ouvrage à mi-chemin entre l’enquête de terrain et l’essai historique, le journaliste Franco-libanais Marwan Chahine part à la chasse aux fantômes de la guerre civile, en disséquant l’étincelle du conflit, la fusillade d’un autobus palestinien survenue le 13 avril 1975.

Rassemblement pour marquer l’anniversaire de la guerre civile de 1975-1990, devant un bâtiment criblé d’obus sur l’ancienne ligne de démarcation à Tayyouneh à Beyrouth, au Liban, mardi 10 avril 2007. © Mahmoud Tawil/AP/SIPA

Rassemblement pour marquer l’anniversaire de la guerre civile de 1975-1990, devant un bâtiment criblé d’obus sur l’ancienne ligne de démarcation à Tayyouneh à Beyrouth, au Liban, mardi 10 avril 2007. © Mahmoud Tawil/AP/SIPA

RYM-BOUSMID_2024

Publié le 26 septembre 2024 Lecture : 6 minutes.

Plus que jamais aujourd’hui, l’histoire du Liban résonne avec l’actualité. Ces derniers jours, le renforcement de la campagne de bombardements israéliens a fait plus de 550 morts et déjà près de 500.000 déplacés. Un cran au dessus, par rapport à la double série d’explosions de bipeurs et de talkies-walkies qui a occasionné la mort de 37 personnes, et blessé 2 931 autres, à travers le pays, les 17

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