Au Sénégal, le PDS se déchire à deux mois des législatives

À l’approche des élections anticipées, un groupe de vétérans du Parti démocratique sénégalais met en cause une gouvernance opaque, dont Karim Wade tirerait les ficelles depuis le Qatar.

Des manifestants de l’opposition sénégalaise brandissent des photos de l’ancien ministre Karim Wade lors d’une marche à Dakar, le 29 novembre 2018. © SEYLLOU / AFP

Des manifestants de l’opposition sénégalaise brandissent des photos de l’ancien ministre Karim Wade lors d’une marche à Dakar, le 29 novembre 2018. © SEYLLOU / AFP

MEHDI-BA_2024

Publié le 23 septembre 2024 Lecture : 6 minutes.

« Si nous allons aux législatives dans ces conditions, nous risquons de ne même pas disposer d’un groupe parlementaire. » Membre du comité directeur et du secrétariat national du Parti démocratique sénégalais (PDS), Ndiaga Diaw est amer. Figurant parmi les cadres historiques du parti fondé en 1974 par Abdoulaye Wade entrés au PDS du temps de leur jeunesse, comme on entre en religion, il est

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Des sympathisants de Karim Wade lors d’une marche pour exiger la transparence des élections, à Dakar, en novembre 2018. © SEYLLOU/AFP

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