Macron favorable à la reconnaissance de la responsabilité de la France dans l’assassinat de Larbi Ben M’Hidi

Officiellement mort par suicide, Larbi Ben M’Hidi, chef de la zone couvrant la capitale au moment de la bataille d’Alger, a été détenu pendant neuf jours avant d’être pendu dans la nuit du 3 au 4 mars 1957. Cinq historiens de la commission qui travaille sur la mémoire de la colonisation française en Algérie, reçus à Élysée, ont détaillé les circonstances de sa mort au président de la République, en vue d’une reconnaissance officielle du rôle de la France.

Portrait de Larbi Ben M’hidi (1923-1957). Membre du « Groupe des six », chefs du FLN © Arnaud du Boistesselin / LA COLLECTION

Portrait de Larbi Ben M’hidi (1923-1957). Membre du « Groupe des six », chefs du FLN © Arnaud du Boistesselin / LA COLLECTION

FARID-ALILAT_2024

Publié le 24 septembre 2024 Lecture : 4 minutes.

Emmanuel Macron va-t-il franchir un pas de plus dans la reconnaissance par la France de sa responsabilité dans les crimes commis durant la guerre d’Algérie ? Jeudi 19 septembre, le président français accueillait à l’Élysée les cinq membres français de la commission mixte algéro-française chargée du travail mémoriel sur la colonisation française en Algérie.

Étaient présents à cette rencontre

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