En exil, en procès ou privé de liberté… Les revers de fortune des ex-présidents

Qu’ils aient été renversés par un coup d’État militaire ou contraints à quitter le pouvoir par la rue, les chefs d’État déchus ont rarement un sort enviable. Tour d’horizon, en infographie, de la situation de ces puissants tombés de leur piédestal.

De gauche à droite : Moncef Marzouki, Ali Bongo Ondimba, Alpha Condé et Mohamed Bazoum. © MONTAGE JA : MUSTAFA YALCIN/Anadolu via AFP ; The Oxford Union/REX/Shutterstock/SIPA ; COM PR iD ; Vincent Fournier pour JA.

De gauche à droite : Moncef Marzouki, Ali Bongo Ondimba, Alpha Condé et Mohamed Bazoum. © MONTAGE JA : MUSTAFA YALCIN/Anadolu via AFP ; The Oxford Union/REX/Shutterstock/SIPA ; COM PR iD ; Vincent Fournier pour JA.

maylys dudouet portrait

Publié le 27 septembre 2024 Lecture : 8 minutes.

Roch Marc Christian Kaboré au Burkina Faso, Mohamed Bazoum au Niger, Ali Bongo Ondimba au Gabon, Alpha Condé en Guinée… Qu’ils aient été contraints à lâcher le pouvoir par la force ou qu’ils aient fui leur palais sous la pression populaire, tous sont passés, en quelques heures, du statut de chef d’État tout-puissant à celui de paria.

Exil ou prison

Chacun de ces « destins brisés » n’en est pas

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