Gazoduc transsaharien : face à la concurrence du Maroc, l’Algérie tente de relancer son « projet stratégique »

À l’heure où Rabat s’apprête à annoncer une décision budgétaire concernant le Nigeria-Maroc Gas Pipeline (NMGP), Alger entend réactiver les réunions tripartites avec Niamey et Abuja autour de son propre mégachantier gazier.

Le ministre algérien des Mines, Mohamed Arkab, le minsitre nigérian du Pétrole, Ekperikpe Ekpo, et le secrétaire général du du Forum des pays exportateurs de gaz (GECF), Mohamed Hamel, à Alger lors du sommet du GECF, en mars 2024. © Billel Bensalem /  NurPhoto/ APP

Le ministre algérien des Mines, Mohamed Arkab, le minsitre nigérian du Pétrole, Ekperikpe Ekpo, et le secrétaire général du du Forum des pays exportateurs de gaz (GECF), Mohamed Hamel, à Alger lors du sommet du GECF, en mars 2024. © Billel Bensalem / NurPhoto/ APP

MAHER-HAJBI_2024

Publié le 30 septembre 2024 Lecture : 2 minutes.

Deux ans après la formalisation du projet de gazoduc transsaharien (TSGP), via la signature d’un protocole d’accord avec le Nigeria et le Niger, l’Algérie souhaite relancer ce projet « stratégique ». Réuni à Alger avec son homologue nigérien, le ministre algérien de l’Énergie et des Mines, Mohamed Arkab a annoncé, le 29 septembre dernier, une prochaine réunion tripartite. Objectif : faire un point

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