Au Maroc, seuls les islamistes et l’extrême gauche pleurent Hassan Nasrallah

Si les médias officiels algériens accusent Israël d’avoir franchi une « ligne rouge » avec l’élimination du chef du Hezbollah, et si beaucoup de Tunisiens voient en lui un « martyr », la nouvelle de sa mort a provoqué des réactions très contrastées au sein du royaume.

À Beyrouth le 29 septembre, des affiches représentant le leader du Hezbollah, Hassan Nasrallah, tué pendant une frappe israélienne sur la capitale libanaise le 27 septembre. © Louisa Gouliamaki/REUTERS

À Beyrouth le 29 septembre, des affiches représentant le leader du Hezbollah, Hassan Nasrallah, tué pendant une frappe israélienne sur la capitale libanaise le 27 septembre. © Louisa Gouliamaki/REUTERS

RYM-BOUSMID_2024

Publié le 1 octobre 2024 Lecture : 5 minutes.

Faut-il, ou non, pleurer sa mort ? Les forces politiques marocaines sont divisées à propos de la réaction à adopter face à l’assassinat, le 27 septembre dernier, dans un bombardement israélien sur Beyrouth, du secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah.

Quelques heures seulement après la confirmation de son décès, quelques dizaines de militants proches des réseaux de défense de la

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