Au Maroc, seuls les islamistes et l’extrême gauche pleurent Hassan Nasrallah
Si les médias officiels algériens accusent Israël d’avoir franchi une « ligne rouge » avec l’élimination du chef du Hezbollah, et si beaucoup de Tunisiens voient en lui un « martyr », la nouvelle de sa mort a provoqué des réactions très contrastées au sein du royaume.
Faut-il, ou non, pleurer sa mort ? Les forces politiques marocaines sont divisées à propos de la réaction à adopter face à l’assassinat, le 27 septembre dernier, dans un bombardement israélien sur Beyrouth, du secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah.
Quelques heures seulement après la confirmation de son décès, quelques dizaines de militants proches des réseaux de défense de la
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