Entre lockdown et kidnapping, l’interminable calvaire du Cameroun anglophone

Malgré l’important dispositif sécuritaire déployé par les forces de défense camerounaises, les groupes séparatistes anglophones ont une nouvelle fois célébré à leur manière le 1ᵉʳ octobre, journée marquant l’anniversaire d’une proclamation symbolique d’« indépendance » de l’Ambazonie.

Extrait d’une vidéo prise en 2017 montrant un militant indépendantiste à Bamenda. © REUTERS

Extrait d’une vidéo prise en 2017 montrant un militant indépendantiste à Bamenda. © REUTERS

Franck Foute © Franck Foute

Publié le 3 octobre 2024 Lecture : 3 minutes.

L’arrestation du leader et idéologue séparatiste anglophone Lucas Ayaba Cho, le 25 septembre en Norvège, n’a pas changé la donne du côté des groupes armés actifs dans les régions anglophones du Cameroun. Ceux-ci restent bien décidés à se faire entendre et à poursuivre leur lutte. Entre les opérations villes mortes, les défilés clandestins et les prises d’otages, la journée du 1ᵉʳ octobre qui

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

Maurice Kamto, le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, à Yaoundé lors de l’élection présidentielle de 2018. © Marco Longari/AFP

Au Cameroun, l’Ouest au cœur de la lutte entre Paul Biya et Maurice Kamto

Contenus partenaires