Yango, Uber, Heetch… En Côte d’Ivoire, les conducteurs de VTC contrôlés mais pas leurs plateformes

Alors que le prix des courses est désormais soumis à une taxe de 4 %, l’État ivoirien a annoncé des campagnes de contrôle qui viseront avant tout les chauffeurs tout en épargnant les sociétés développant les applications de VTC.

Les services de VTC généreraient plusieurs dizaines de milliers d’emploi à Abidjan. © Guillaume Binet/MYOP pour JA

Les services de VTC généreraient plusieurs dizaines de milliers d’emploi à Abidjan. © Guillaume Binet/MYOP pour JA

Salimata Kone

Publié le 8 octobre 2024 Lecture : 2 minutes.

C’est décidément une taxe qui crispe en Côte d’Ivoire. Depuis le 7 octobre, les chauffeurs de véhicules de transports publics utilisant des plateformes de mise en relation en ligne (VTC) sont assujettis à une nouvelle taxe de 4 % sur le prix de leurs courses. Ce prélèvement à la source doit remplacer l’ancien système de patente, que l’État peine à récolter. Il a été intégré à l’annexe de la loi de

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

La plateforme russe Yango, l’une des sociétés de VTC présentes en Côte d’Ivoire, s’est implanté début 2018 à Abidjan. © YANGO

VTC : Dakar peut-elle suivre le modèle d’Abidjan ?

Contenus partenaires