Pourquoi l’Algérie renonce aux Brics mais pas à sa banque

Alors que la candidature d’Alger pour intégrer les Brics a été rejetée en 2023, Abdelmadjid Tebboune a décidé de tourner la page. Et ce malgré la récente adhésion de son pays à la banque de développement de l’organisation.

Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, lors d’une réunion en marge du sommet du G7, le 15 juin 2024, à Savelletri di Fasano, en Italie. © Zuma/ABACA

Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, lors d’une réunion en marge du sommet du G7, le 15 juin 2024, à Savelletri di Fasano, en Italie. © Zuma/ABACA

MAHER-HAJBI_2024

Publié le 8 octobre 2024 Lecture : 2 minutes.

« L’Algérie ne souhaite pas intégrer un groupe dans lequel elle n’est pas désirée […] Nous avons déposé notre candidature pour des raisons bien définies, mais avec la tournure que prend cette organisation, notre volonté a changé », a déclaré le président algérien Abdelmadjid Tebboune, le 5 octobre, lors de son entretien périodique avec les représentants de médias algériens au palais présidentiel

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