Michael Jackson et Manu Dibango © LEE CELANO / AFP ; SEBASTIEN LAPEYRERE / Hans Lucas via AFP
Michael Jackson et Manu Dibango © LEE CELANO / AFP ; SEBASTIEN LAPEYRERE / Hans Lucas via AFP

Manu Dibango-Michael Jackson : David contre Goliath

À deux reprises, le roi de la pop a plagié Papa Groove, sans vergogne. Récit.

Publié le 15 novembre 2024 Lecture : 5 minutes.

Musique et plagiat © Getty Images
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Musique et plagiats : quand l’Afrique se fait piller ses tubes

Pillée, copiée ou mise de côté, la musique noire a été victime d’une d’« une triple injustice » selon l’avocat d’affaires et chroniqueur de Rock&Folk, Fabrice Epstein. Auteur du livre Black Music Justice, une histoire judiciaire des musiques noires, il y décrit des histoires judiciaires qui ont marqué les musiques noires, de Michael Jackson, à part Snoop Dogg, en passant par Tina Turner, ou encore Miles Davis. Inspiré par cette démarche, « Jeune Afrique » a décidé de se concentrer sur les plagiats les plus flagrants, quand des artistes du Sud ont été victimes d’artistes du Nord.

Sommaire

Musique et plagiats : quand l’Afrique se fait piller ses tubes (2/7) – « Aussi fier qu’amer. » C’était le ressenti ambivalent de Manu Dibango vis-à-vis du plagiat dont il a été victime de la part de la star planétaire Michael Jackson. Du moins c’est ce que le brillant musicien camerounais, monstre sacré de l’afro-jazz, considéré comme le père fondateur de la « World Music », confiait au micro

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