Sénégal, l’art de la rupture
Le tandem Bassirou Diomaye Faye-Ousmane Sonko oscille entre changement radical et sens des réalités. Si nul ne sait quel sera son bilan en fin de mandat, une chose est sûre : au pays de Senghor, les électeurs ont toujours le dernier mot.
-
Marwane Ben Yahmed
Directeur de publication de Jeune Afrique.
Publié le 28 octobre 2024 Lecture : 3 minutes.
L’expérience démocratique sénégalaise est à nulle autre pareille. A fortiori par les temps qui courent en Afrique de l’Ouest, où les militaires s’emparent du pouvoir par la force et ne veulent plus le lâcher. Malgré le sentiment que le pays a frôlé moult fois le bord de l’abîme, l’élection, en mars dernier, de Bassirou Diomaye Faye à la présidence de la République a non seulement donné lieu à une
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus – Politique
- Sexe, pouvoir et vidéos : de quoi l’affaire Baltasar est-elle le nom ?
- Législatives au Sénégal : Pastef donné vainqueur
- Au Bénin, arrestation de l’ancien directeur de la police
- L’Algérie doit-elle avoir peur de Marco Rubio, le nouveau secrétaire d’État améric...
- Mali : les soutiens de la junte ripostent après les propos incendiaires de Choguel...