L’intime, le politique, l’universel : « Le Dernier des arts », de Fary Ndao

Dans un champ politique sénégalais promis à une forme d’instabilité chronique, publier un tel ouvrage est un pari sur la noblesse politique perdue, selon Elgas, qui a lu pour nous le premier roman de Fary Ndao, publié aux éditions Présence africaine.

Fary Ndao. © DR

Fary Ndao. © DR

Capture d’écran 2021-11-06 à 17.14.27 © DR
  • Elgas

    Chercheur associé à l’IRIS, journaliste, écrivain et docteur en sociologie

Publié le 19 octobre 2024 Lecture : 4 minutes.

La politique est une affaire de « tripes » et de « cœur », nous dit Sibilumbaye Fall, narrateur pour le moins engageant et candidat cérébral aux portes du pouvoir d’un État imaginaire aux forts accents africains. Le propos est plutôt convenu, mais le relief qu’il prend dans le récit de cette aventure d’un homme pris dans les facéties d’un destin devient la pelote d’une intrigue nouée avec maestria

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