Plantation anarchique, coût, qualité de l’air… Vers la fin de la « palmiérisation » au Maroc ?

À l’appel d’associations écologistes, les autorités de Casablanca ont décidé de renoncer à la plantation de palmiers sur les grands axes de la ville. Une mesure inédite qui pourrait se propager dans le reste du pays.

Palmiers à l’entrée de l’ancienne médina de Rabat, le 17 avril 2017. © David Cordova / NurPhoto via AFP

Palmiers à l’entrée de l’ancienne médina de Rabat, le 17 avril 2017. © David Cordova / NurPhoto via AFP

Publié le 21 octobre 2024 Lecture : 3 minutes.

L’activisme de Mohamed Mhidia, wali de la région Casablanca-Settat depuis octobre 2023, s’illustre à nouveau. Le 11 octobre, il a annoncé la fin de la plantation de palmiers Washingtonia dans les principales artères de la ville de Casablanca. Une décision saluée par l’association Maroc Environnement 2050 et sa présidente Salima Belemkaddem, qui la réclame depuis près de trois ans.

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