L’uranium nigérien entre dans l’ère post-Orano

Alors que la junte écarte les occidentaux comme Orano ou GoviEx, Russes, Turcs, Chinois et Iraniens s’activent dans la course aux mines nigériennes.

La vue extérieure de l’usine de SOMAIR © Maurice Ascani/Orano

La vue extérieure de l’usine de SOMAIR © Maurice Ascani/Orano

Salimata Kone MARIE-TOULEMONDE_2024

Publié le 25 octobre 2024 Lecture : 4 minutes.

Russes, Iraniens, Chinois et maintenant Turcs… La ruée vers l’uranium nigérien bat son plein depuis le divorce entre le français Orano et le régime d’Abdourahamane Tiani. En visite de travail en Turquie depuis le 21 octobre, le colonel Abarchi Ousmane, ministre nigérien des Mines et du Pétrole, a signé un « mémorandum sur la coopération dans le domaine minier ». Ce document, à en croire Alparslan

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