Le rappeur américain Jay-Z (à g.) et le chanteur égyptien Abdel Halim Hafez. © Anthony Behar/Sipa USA ; AFP
Le rappeur américain Jay-Z (à g.) et le chanteur égyptien Abdel Halim Hafez. © Anthony Behar/Sipa USA ; AFP

Les fausses notes de Jay-Z 

Sampler ou plagier ? Pris les doigts dans le pot de confiture, le rappeur américain a dû indemniser les compositeurs (l’un Égyptien, l’autre Suisse) dont il s’était « inspiré » largement dans « Big Pimpin’ » et « Versus ».
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Publié le 16 novembre 2024 Lecture : 4 minutes.

Musique et plagiat © Getty Images
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Musique et plagiats : quand l’Afrique se fait piller ses tubes

Pillée, copiée ou mise de côté, la musique noire a été victime d’une d’« une triple injustice » selon l’avocat d’affaires et chroniqueur de Rock&Folk, Fabrice Epstein. Auteur du livre Black Music Justice, une histoire judiciaire des musiques noires, il y décrit des histoires judiciaires qui ont marqué les musiques noires, de Michael Jackson, à part Snoop Dogg, en passant par Tina Turner, ou encore Miles Davis. Inspiré par cette démarche, « Jeune Afrique » a décidé de se concentrer sur les plagiats les plus flagrants, quand des artistes du Sud ont été victimes d’artistes du Nord.

Sommaire

Musique et plagiats : quand l’Afrique se fait piller ses tubes (3/7) – Abdel Halim Hafez est l’un des chanteurs et acteurs égyptiens les plus célèbres. Surnommé « le Rossignol brun » ou « le Sinatra du Nil », le crooneur a roucoulé des mots d’amour pendant l’âge d’or des comédies musicales, dans les années 1950 et 1960. Son enterrement est celui qui a rassemblé la foule la plus considérable en

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