Au Niger, Al-Qaïda affirme avoir frappé aux portes de Niamey

Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans a revendiqué l’attaque d’un checkpoint militaire à moins de dix kilomètres au sud de la capitale nigérienne.

Des policiers en marge d’une marche de soutien aux putschistes ayant renversé Mohamed Bazoum, à Niamey, le 30 juillet 2023. © Djibo Issifou/ZUMA Press-REA

Des policiers en marge d’une marche de soutien aux putschistes ayant renversé Mohamed Bazoum, à Niamey, le 30 juillet 2023. © Djibo Issifou/ZUMA Press-REA

MANON-LAPLACE_2024

Publié le 28 octobre 2024 Lecture : 2 minutes.

Ce samedi 26 octobre, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM ou JNIM, affilié à Al-Qaïda) a annoncé avoir frappé un poste de sécurité à Séno, aux portes de Niamey. Cet assaut, que les autorités nigériennes n’ont pas encore reconnu ou démenti publiquement, suscite surtout des questions du fait de la proximité du lieu de l’attaque avec la capitale du Niger.

Le checkpoint visé, composé

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

Le général Abdourahamane Tiani, président du Niger, lors du premier sommet des chefs d’État de l’Alliance des États du Sahel (AES), le 6 juillet 2024, à Niamey. © Mahamadou Hamidou/Reuters

Abdourahamane Tiani, coupé du monde mais droit dans ses bottes

Face aux jihadistes, l’armée nigérienne enchaîne les ripostes

Contenus partenaires