Ferrari hennit au Maroc
Le 26 septembre, Ferrari inaugurera à Casablanca son premier showroom au Maghreb. Plus de 250 VIP, dont une trentaine de propriétaires de célèbres bolides rouges, sont attendus
Même l’annonce de la hausse du prix de l’essence à la pompe dans le royaume ne gâchera pas la fête. Le 26 septembre, Ferrari inaugurera à Casablanca son premier showroom au Maghreb. Plus de 250 VIP, dont une trentaine de propriétaires de célèbres bolides rouges, sont attendus.
Déjà présent en Égypte et en Afrique du Sud, le constructeur italien entend poursuivre son développement sur le continent, où sa marque peine à décoller. Pour l’occasion, il s’est associé, après dix-huit mois de négociations, à l’homme d’affaires Adil Douiri, ministre du Tourisme de 2002 à 2007 dans le gouvernement Jettou. Patron du fonds Mutandis, ce dernier distribue déjà, via l’entreprise Univers Motors, le japonais Honda et l’espagnol Seat.
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Une vingtaine de ventes par an
Les deux partenaires tableraient sur une vingtaine de ventes par an. Toute la gamme des voitures au cheval cabré sera disponible à condition d’être patient… et d’y mettre le prix ! Il faudra compter entre douze et vingt-quatre mois d’attente avant la livraison, pour des tarifs s’échelonnant entre 180 000 et 270 000 euros.
Et au moins 50 000 euros supplémentaires pour les propriétaires désireux de personnaliser l’intérieur de leur véhicule, par exemple en recouvrant les sièges de jean. Eh oui, même chez Ferrari on accepte parfois, moyennant finance, quelques entorses au bon goût.
