Comment Air France compense son absence des États du Sahel
Plus d’un an après avoir quitté Bamako, Ouagadougou et Niamey, la compagnie française est parvenue à limiter l’impact de ce triple retrait sur son chiffre d’affaires. Mais n’en continue pas moins d’espérer un retour en grâce.
Des avions moins nombreux mais mieux remplis, une gestion évolutive des tarifs, avec une politique assumée de faire monter les enchères sur les réservations tardives, et le développement fort de la low cost Transavia : telles sont les recettes qui ont permis au groupe Air France-KLM de limiter la casse, un an après son départ de Bamako, Ouagadougou et Niamey.
Selon ses résultats du 3ᵉ trimestre,
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