Ce que l’Algérie et la France auraient à perdre (ou pas) d’un embargo réciproque

Depuis la visite d’État d’Emmanuel Macron au Maroc, et après avoir écarté l’Hexagone de la liste de ses fournisseurs de blé, Alger cultive le malentendu avec Paris.

Abdelmadjid Tebboune et Emmanuel Macron le 13 juin 2024 à l’hôtel Borgo Egnazia, en Italie, lors du dernier Sommet du G7. © Ludovic MARIN / AFP

Abdelmadjid Tebboune et Emmanuel Macron le 13 juin 2024 à l’hôtel Borgo Egnazia, en Italie, lors du dernier Sommet du G7. © Ludovic MARIN / AFP

MAHER-HAJBI_2024

Publié le 7 novembre 2024 Lecture : 3 minutes.

Du retrait immédiat de son ambassadeur en France à la déprogrammation de la visite d’État du président Abdelmadjid Tebboune, l’Algérie est montée d’un cran dans la contre-offensive qu’elle mène en réponse au revirement pro-marocain de Paris sur la question du Sahara occidental. Après la visite d’État d’Emmanuel Macron au Maroc, qui s’est tenue 28 au 30 octobre derniers, Alger aurait décidé

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