Ce que l’Algérie et la France auraient à perdre (ou pas) d’un embargo réciproque
Depuis la visite d’État d’Emmanuel Macron au Maroc, et après avoir écarté l’Hexagone de la liste de ses fournisseurs de blé, Alger cultive le malentendu avec Paris.
Du retrait immédiat de son ambassadeur en France à la déprogrammation de la visite d’État du président Abdelmadjid Tebboune, l’Algérie est montée d’un cran dans la contre-offensive qu’elle mène en réponse au revirement pro-marocain de Paris sur la question du Sahara occidental. Après la visite d’État d’Emmanuel Macron au Maroc, qui s’est tenue 28 au 30 octobre derniers, Alger aurait décidé
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Déjà abonné ?
Connectez-vous
la suite après cette publicité
Les plus lus – Économie & Entreprises
- Chez Itoc au Sénégal, les enfants de Baba Diao revisitent la gouvernance du groupe
- Carburant en Afrique : pourquoi les exportateurs mondiaux jouent des coudes pour a...
- Doublé par la junte au Mali, Maroc Telecom restera-t-il dans le pays ?
- L’arrestation du PDG du groupe CHO secoue l’huile d’olive tunisienne
- Sénégal : à quoi doit servir la nouvelle banque de la diaspora ?