Baccar Gherib : « La révolution tunisienne de 2011 a échoué parce qu’elle a oublié la question sociale »
Treize ans après la chute de Ben Ali, nombreux sont les Tunisiens qui considèrent que la situation n’est guère meilleure aujourd’hui. Pour analyser cette dynamique et ses ratés, l’économiste compare la période post-2011 à l’indépendance de 1956.
« Pourquoi avons-nous échoué là où ils ont réussi ? » s’interroge Baccar Gherib. Le sous-titre de son dernier essai, « 2011 au miroir de 1956 », explique la démarche du professeur d’économie politique qui met en perspective deux séquences fondatrices de la Tunisie contemporaine : l’accès à l’indépendance en 1956 et la révolution de 2011.
De l’une à l’autre de ces dates, la réflexion déroule avec
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Déjà abonné ?
Connectez-vous
la suite après cette publicité
Les plus lus – Politique
- Maroc-Algérie : que contiennent les archives sur la frontière promises par Macron ?
- La justice sénégalaise fait reporter l’inhumation de Mamadou Moustapha Ba, évoquan...
- Les sextapes de Bello font le buzz au-delà de la Guinée équatoriale
- Sextapes et argent public : les Obiang pris dans l’ouragan Bello
- Une « nouvelle conception de l’autorité » : Mohamed Mhidia, un wali providentiel à...