L’Algérie doit-elle avoir peur de Marco Rubio, le nouveau secrétaire d’État américain ?

À peine réélu, Donald Trump a annoncé le nom de celui qui sera le chef de sa diplomatie. Ce choix, qui s’est porté sur le sénateur de Floride, n’est pas forcément une bonne nouvelle pour Alger, l’élu républicain ayant déjà par deux fois appelé à sanctionner le pays.

Le sénateur de Floride Marco Rubio au Capitole à Washington, le 23 avril 2024. © Tom Williams/CQ-Roll Call/Sipa USA/SIPA

Le sénateur de Floride Marco Rubio au Capitole à Washington, le 23 avril 2024. © Tom Williams/CQ-Roll Call/Sipa USA/SIPA

FARID-ALILAT_2024

Publié le 15 novembre 2024 Lecture : 4 minutes.

Pas de précipitation. À Alger, on se garde bien de toute déclaration hostile depuis qu’il a été annoncé que le futur secrétaire d’État américain serait l’élu républicain de Floride, Marco Rubio. Il n’empêche : en se penchant sur le CV du futur chef de la diplomatie de Donald Trump, les autorités algériennes ont quelques raisons de nourrir des inquiétudes sur les relations qu’elles établiront avec

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