Après la réélection de Kaïs Saïed, que reste-t-il de l’opposition tunisienne ?
Absente lors de la dernière présidentielle, invisible lors des législatives à cause du nouveau mode de scrutin, l’opposition tunisienne va devoir se recomposer et se réinventer si elle veut porter la voix des électeurs qui ne se retrouvent pas dans la présidence de Kaïs Saïed. Le défi est immense.
Lors de l’élection présidentielle tunisienne du 6 octobre, largement remportée par Kaïs Saïed, beaucoup ont souligné le faible taux de participation : 28,8 %. Un chiffre qui pose une autre question, que certains ressassent depuis bientôt deux mois : est-ce, pour autant, que les 71,2 % du corps électoral qui ne se sont pas exprimés constituent une opposition ? Faute d’éléments probants, notamment
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