L’ONU condamne le meurtre d’albinos en Tanzanie

  Le coordonnateur résident par intérim du Bureau des Nations unies en Tanzanie, Mohammed Belhocine, a condamné le meurtre d’albinos dans certaines parties de ce pays, soulignant que cette tragédie est un ‘’signe évident ’’ que la déclaration des droits de l’homme ne bénéficie toujours pas de la même manière à l’ensemble de l’humanité.

Publié le 11 décembre 2008 Lecture : 1 minute.

Il s’exprimait jeudi à Dar es Salam, la capitale économique du pays, lors d’une conférence à l’occasion d’une cérémonie marquant la célébration du 60 eme anniversaire de la journée des Droits de l’Homme.

Le responsable onusien a indiqué que ce n’était pas seulement de la responsabilité des gouvernements de veiller au respect de ces droits mais également celle des citoyens de faire de la jouissance des droits de l’homme une réalité pour tous. Il a rappelé à nouveau le message du secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon selon lequel « la déclaration reflète les aspirations de l’humanité à un avenir de prospérité, de dignité et de cohabitation pacifique. Les droits de l’homme et particulièrement leurs violations doivent tenir le monde entier en solidarité ».

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Dans son message, Ban Ki Moon a également souligné que « les notions de justice, de liberté et d’indépendance ont une longue histoire. Beaucoup de pays se fondent sur ces croyances mais la rhétorique de leurs Constitutions a peu de sens pour nombre de leurs citoyens ».

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