L’UA, Lampedusa et la CPI
Alors que le monde – hypocrite ? – s’émeut du nouveau naufrage au sud de Malte, huit jours après la tragédie qui a coûté la vie à plus de 300 migrants au large de Lampedusa, l’Union africaine se réunit pour parler de l’immunité des chefs d’État du continent…
![L’oeil de Glez. © Glez](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2013/10/14/014102013115755000000CPI_lampedusa_263_163.jpg)
L’oeil de Glez. © Glez
L’organisation interafricaine souhaite demander à l’ONU l’ajournement des procédures de la Cour pénale internationale (CPI) contre les président et vice-président kenyans et contre le chef de l’État soudanais. De nombreux membres de l’Union considèrent même que les chefs d’État et de gouvernement en exercice ne devraient jamais être poursuivis quand ils sont en fonction. Pendant ce temps, on meurt en Méditerranée. Des ONG considèrent que près de 20 000 migrants et réfugiés y auraient péri ces 20 dernières années.
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