Libye : libéré sans les mains libres ?
Le Premier ministre libyen pourra-t-il encore conduire la politique gouvernementale, après son enlèvement par des ex-rebelles ?…
![L’oeil de Glez. © Glez](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2013/10/11/011102013122257000000Libye_milice_PM_263_163.jpg)
L’oeil de Glez. © Glez
C’est pour des raisons de sécurité qu’Ali Zeidan avait choisi de résider dans un hôtel de Tripoli. Mais des miliciens sont venus le cueillir au nez et à la barbe de ses gardes du corps, avec autant de facilités qu’un commando américain. Quelques heures plus tard, le chef du gouvernement était libéré et appelait au calme… Cet épisode burlesque met en évidence la faiblesse de l’Etat libyen face à des groupes armés qui prétendent pourtant opérer sous les ordres des autorités. En mars, tout ce que le Congrès général national (CGN) libyen avait trouvé comme parade était de cantonner les milices en dehors de la capitale. Manifestement en vain…
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus – Politique
- Origines algériennes de Jordan Bardella : enquête sur un tabou
- Après l’Algérie, le Maroc : nouvelles révélations sur les liens de Jordan Bardella avec le Maghreb
- Damiba à Ibrahim Traoré : « Je ne peux pas garder le silence face aux exactions contre les civils »
- Maroc : mort de la princesse Lalla Latifa, mère de Mohammed VI
- Au Burkina Faso, la fuite en avant répressive d’Ibrahim Traoré