Les perspectives de l’emploi plus favorables au Moyen-Orient qu’en Afrique du Nord

Le site de recherche d’emploi Bayt a publié une enquête en août sur les tendances du marché de l’emploi au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et au Pakistan. Selon ce document, les perspectives sont plus favorables au Moyen-Orient qu’en Afrique du Nord.

Les Émirats arabes unis, le Qatar et l’Arabie Saoudite seraient les marchés les plus attractifs pour les recruteurs. DR

Les Émirats arabes unis, le Qatar et l’Arabie Saoudite seraient les marchés les plus attractifs pour les recruteurs. DR

Publié le 3 septembre 2013 Lecture : 1 minute.

Le site de recherche d’emploi au Moyen-Orient Bayt a publié une analyse des tendances sur le marché de l’emploi au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et au Pakistan. L’enquête a été réalisée auprès de 3 430 personnes issues de divers secteurs. Parmi les personnes interrogées, tous pays confondus, 30 % ont affirmé qu’elles cherchaient à recruter dans les trois mois, et 25 % ont déclaré qu’elles recruteraient « probablement ». En première position, le secteur bancaire et financier est cité par 35 % des personnes interrogées comme secteur « attirant le plus de talents », suivi par la construction (32 %) et les télécommunications (31 %).

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D’autre part, il ressort de l’étude que les entreprises sont principalement à la recherche de diplômés en commerce et en ingénierie. Quant aux compétences, les plus convoitées sont la communication en arabe et en anglais (citée par 50 % des personnes enquêtées), l’esprit d’équipe (48 %) et les capacités à diriger (47 %).

Le Moyen-Orient est plus attractif

Les Émirats arabes unis, le Qatar et l’Arabie saoudite seraient les marchés les plus attractifs pour les recruteurs. Au sud de la Méditerranée, ces derniers sont moins optimistes qu’au Moyen-Orient. Au Maroc, les intentions d’embauche « certaines » à trois mois s’élèvent à 17 %, le taux le plus bas du classement. L’Algérie (27 %), l’Égypte (22 %) et la Tunisie (19 %) affichent des résultats inférieurs à ceux de pays comme l’Arabie saoudite (41 %), Oman (33 %) ou le Koweït (37 %).

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Les prévisions d’embauche à douze mois sont plus encourageantes, mais restent relativement faibles.

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