Égypte : le tag de la discorde
Début mai, un adolescent chinois vandalisait un bas-relief égyptien. La vague d’indignation prend de l’ampleur en Chine, où la mauvaise éducation dans certains milieux, qualifiés de « nouveaux riches », est pointée du doigt…
![L’oeil de Glez. © Glez](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2013/05/29/029052013101352000000Egypte_vandalisme_263_163.jpg)
L’oeil de Glez. © Glez
Âgé de 14 ans, originaire de Nankin, le jeune touriste a gravé « Ding Jinhao en visite ici », sur le corps du dieu Amon, dans le temple d’Amenhotep III, à Louxor. Sur place, des compatriotes de l’adolescent auraient tenté de nettoyer le graffiti avec du papier, hésitant à utiliser de l’eau sur un monument d’il y a 3 500 ans. Sur le réseau social chinois Weibo, cette inscription de sept caractères a déclenché une tempête d’indignation qui vire à la vindicte populaire. Les internautes évoquent une « honte à ne plus savoir où se cacher ». Postée, la photo du sacrilège a fait l’objet de 15 000 commentaires.
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