À votre santé, excellences !
Alors que l’État du Botswana a tardé pour annoncer que son président, Ian Khama, avait été blessé au visage par un guépard, l’Algérie tout entière est suspendue aux informations officielles sur la santé d’Abdelaziz Bouteflika.
![L’oeil de Glez © Glez](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2013/04/30/030042013111734000000lmklmkmlkmlkl.jpg)
L’oeil de Glez © Glez
Le Botswanais a dû recevoir deux points de suture tandis que l’Algérien, âgé de 76 ans, est hospitalisé depuis samedi 27 avril à Paris, suite à un « léger accident vasculaire ». En Afrique, la communication officielle sur la santé des dirigeants est toujours sujette à caution. « Blaise Compaoré est-il malade ? » titrait, début mars, le journal burkinabè « L’Événement ». Quant aux récentes publications de Wikileaks sur l’Afrique, elles concernaient notamment les maladies supposées de certains chefs d’État. Pour l’heure, ce sont des images de Nelson Mandela qui ont rassuré, hier, ses aficionados…
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