Cette semaine dans Jeune Afrique
Cette semaine, retrouvez l’interview exclusive de Driss Benhima, PDG de Royal Air Maroc. Après avoir subi des pertes colossales en 2011, la compagnie relève la tête. Son dirigeant espère atteindre l’équilibre financier à la fin de l’année.
Cette semaine dans Jeune Afrique, une interview exclusive de Driss Benhima, le PDG de Royal Air Maroc.
Publié le 1 juillet 2013 Lecture : 2 minutes.
À la tête de la compagnie depuis 2006, Driss Benhima, le PDG de Royal Air Maroc (RAM), est en plein milieu d’une manoeuvre complexe : redresser une entreprise prise dans de graves turbulences. Confronté à des pertes de 1,7 milliard de dirhams (155,7 millions d’euros) en 2011, le transporteur poursuit sa restructuration entamée il y a deux ans.
Sommaire
Grande interview – « Nous revenons de loin », Driss Benhima, PDG de Royal Air Maroc
Entreprises et marchés
Côte d’Ivoire – Aéria pilote le redécollage d’Abidjan
Marketing – Princesse Tatie, la nouvelle star de Somdiaa
Afrique de l’Est – Addis rit, Djibouti aussi
Décideurs
Finance – Patrick Mestrallet, de défi en défi
Finance
Bourse – Casablanca peine à se relancer
Les indiscrets
Plan de départs volontaires, réduction des coûts, désengagement des métiers ne relevant pas directement de l’aérien… la potion est amère. Mais les premiers résultats se font sentir, avec un retour à l’équilibre prévu pour la fin de 2013.
Rencontré au Salon international de l’aéronautique et de l’espace, au Bourget, près de Paris, Driss Benhima, 59 ans, polytechnicien boulimique de travail, livre son analyse des bouleversements du secteur et les perspectives qu’il envisage pour sa compagnie.
En section entreprises & marchés, Jeune Afrique fait le point sur le redécollage d’Abidjan. Modernisation du terminal, extension des aires de stationnement des appareils : pour accompagner la reprise du trafic à l’aéroport Félix-Houphouët Boigny, le concessionnaire Aéria multiplie les chantiers. À lire aussi, une analyse de la stratégie marketing de Somdiaa. Après le Cameroun, le Tchad, le Congo et la Côte d’Ivoire, le groupe agro-industriel vend désormais son sucre au Gabon sous sa nouvelle marque panafricaine, Princesse Tatie.
Dans les pages décideurs, retrouvez un portrait de Patrick Mestrallet, le directeur général d’Oragroup. Ingénieur devenu banquier, parisien installé en Afrique, il finalise l’une des plus importantes opérations de sa riche carrière.
En section finance, Jeune Afrique revient sur le déclassement de la Bourse de Casablanca par le fournisseur d’indice MSCI. Jugée trop chère et illiquide, la Place marocaine n’est plus considérée comme un « marché émergent ». Une rétrogadation qui pourrait, paradoxalement, lui profiter.
Retrouvez enfin les indiscrets de la semaine avec notamment : les retards à l’allumage dans la téléphonie mobile au Cameroun ou encore la multiplication du nombre d’intervenants qui conseillent la privatisation des banques publiques en Côte d’Ivoire, au risque de provoquer une cacophonie…
