Ils ont dit

Publié le 5 décembre 2008 Lecture : 1 minute.

« Nous nous réjouirons quand les relations diplomatiques seront rétablies avec la France. Mais nous refusons qu’elles soient basées sur le mépris. » ROSEMARY MUSEMINALI Ministre rwandaise des Affaires étrangères

« Les pirates somaliens sont entre 400 et 500 et font du business. Il ne se passe pas quinze minutes entre la prise de décision et l’abordage du navire. Le secteur est trop vaste pour être sécurisé. Donc, les actes de piraterie vont continuer. » VICE-AMIRAL GÉRARD VALIN Commandant des forces françaises dans l’océan Indien

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« Ce qui manque le plus à l’Afrique et aux pays du Sud, ce sont les ordinateurs, pas l’argent. » ABDOULAYE WADE Président sénégalais

« Je n’ai pas d’excuses. J’ai voulu faire des affaires, j’ai été pris la main dans le pot de miel. » PAUL-LOUP SULITZER Écrivain [lors du procès de l’Angolagate, à Paris]

« J’ai quarante ans d’Afrique derrière moi, tout travail mérite salaire. Quand on reçoit un chèque, on ne cherche pas à savoir s’il est en bois ou s’il a été signé par un escroc. » JEAN-CHRISTOPHE MITTERRAND Fils de l’ancien président français [lors de ce même procès]

« S’il est nécessaire d’augmenter le financement des institutions financières internationales, l’Arabie saoudite y contribuera au même titre que les États membres de ces institutions, et non de façon exceptionnelle. » IBRAHIM AL-ASSAF Ministre saoudien des Finances

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« Si François Bayrou est un jour en situation de devenir président de la République [française], alors oui, je n’hésiterai pas à refaire de la politique pour l’en empêcher. » BERNARD TAPIE Ancien ministre français

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