L’UNJCI comme tremplin
Publié le 1 décembre 2008 Lecture : 1 minute.
Dotée d’un budget annuel d’environ 200 millions de F CFA, l’UNJCI a pour mission de défendre les intérêts des journalistes, d’améliorer les conditions de travail, et récompense chaque année le meilleur d’entre eux en décernant le prix Ebony. Pour les présidents successifs, l’Union a été également un tremplin professionnel. Yao Noël, premier dirigeant de l’UNJCI, a occupé le poste de conseiller en communication du président Bédié jusqu’à sa destitution, en 1999. Il est actuellement fonctionnaire en charge des droits de l’homme dans une agence des Nations unies. Diegou Bailly est aujourd’hui président du Conseil national de la communication audiovisuelle (CNCA). Après avoir assuré la direction générale du quotidien Fraternité matin jusqu’en novembre 2006, Honorat De Yedagne a monté un cabinet de consulting et lancé le magazine Afrique Compétences sur les ressources humaines. Quant à Amos Beonaho, il briguera prochainement les postes de député et de maire de Bangolo, à l’ouest du pays, comme candidat indépendant.
