PLUS DURE SERA LA CHUTE
Rien ne va plus pour Chen Shui-bian, l’ex-président taïwanais. En mai, accusé de blanchiment d’argent, détournement de fonds publics, corruption et faux en écriture, il avait été contraint de quitter ses fonctions. Le 11 novembre, il a été interpellé, menotté et placé en détention. Aujourd’hui, il accuse la police de l’avoir molesté, alors que son arrestation a eu lieu en présence de ses avocats, et dénonce les pressions de la Chine sur Ma Ying-jeou, son successeur. « Je suis le principal obstacle à la réunification », estime-t-il.
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