PLUS DURE SERA LA CHUTE
Rien ne va plus pour Chen Shui-bian, l’ex-président taïwanais. En mai, accusé de blanchiment d’argent, détournement de fonds publics, corruption et faux en écriture, il avait été contraint de quitter ses fonctions. Le 11 novembre, il a été interpellé, menotté et placé en détention. Aujourd’hui, il accuse la police de l’avoir molesté, alors que son arrestation a eu lieu en présence de ses avocats, et dénonce les pressions de la Chine sur Ma Ying-jeou, son successeur. « Je suis le principal obstacle à la réunification », estime-t-il.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Burkina Faso : le lieutenant-colonel Yves Didier Bamouni toujours porté disparu
- Fin de règne pour Adolphe Moudiki, intime de Paul Biya et patron de l’or noir camerounais
- Côte d’Ivoire : le vice-président Tiémoko Meyliet Koné, des amitiés au cœur du pouvoir
- Au Sénégal, l’affaire de la disparition mystérieuse de deux sous-officiers ressurgit
- Est de la RDC : l’Union européenne a choisi son représentant pour les Grands Lacs