Développement : une taxe de financement sur les transactions de change ?
Quels financements innovants peut-on apporter à l’aide au développement ? C’est notamment à cette question que devra répondre le futur G20, en ces temps de restrictions budgétaires.
![Le dernier sommet du G20, à Séoul en novembre 2010. © AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2011/08/06/006082011130414000000seoulgvingtok.jpg)
Le dernier sommet du G20, à Séoul en novembre 2010. © AFP
Un G20 consacré au développement devrait se tenir, sans doute à Washington, fin septembre. L’ordre du jour portera essentiellement sur les infrastructures, la sécurité alimentaire et les financements innovants. Les budgets de l’aide publique au développement (APD) étant contraints en ces temps de crise, la France, qui préside actuellement le G20, plaide pour une taxe de 0,005 % sur les transactions de change, qui pourrait rapporter entre 30 milliards et 40 milliards de dollars par an. Problème : les Anglo-Saxons ne veulent pas en entendre parler.
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