Bois gabonais : prière de ne pas laisser traîner
À la poursuite du Gabon vert
Fin janvier, l’Etat a pris la décision de s’approprier au bout d’un délai de six mois « le bois coupé abandonné dans la nature ». Entendez par là tout tronc d’arbre abattu, ébranché, étêté, tronçonné ou scié, délaissé à la lisière des chantiers forestiers ou dans des parcs à bois. De quoi faire réfléchir certains exploitants indélicats dont la très mauvaise habitude est de laisser traîner des monceaux de grumes qui finissent par pourrir sous la pluie. Quand on y pense, le délai de six mois est, somme toute, généreux.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
À la poursuite du Gabon vert
Les plus lus
- Maroc-Algérie : que contiennent les archives sur la frontière promises par Macron ?
- Maroc, Kenya, Tanzanie… Le géant indien Adani a-t-il vraiment une stratégie africa...
- Au Niger, des membres d’un groupe rebelle pro-Bazoum ont rendu les armes
- Inauguration du nouvel aéroport de Luanda : après 20 ans, enfin l’envol
- La justice sénégalaise fait reporter l’inhumation de Mamadou Moustapha Ba, évoquan...