Bois gabonais : prière de ne pas laisser traîner
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À la poursuite du Gabon vert
Fin janvier, l’Etat a pris la décision de s’approprier au bout d’un délai de six mois « le bois coupé abandonné dans la nature ». Entendez par là tout tronc d’arbre abattu, ébranché, étêté, tronçonné ou scié, délaissé à la lisière des chantiers forestiers ou dans des parcs à bois. De quoi faire réfléchir certains exploitants indélicats dont la très mauvaise habitude est de laisser traîner des monceaux de grumes qui finissent par pourrir sous la pluie. Quand on y pense, le délai de six mois est, somme toute, généreux.
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