Franc-maçons : les femmes aussi…

Présentes mais discrètes. Au sein d’une « école philosophique » considérée comme traditionnellement machiste et sur un continent où la « question du genre » fait difficilement son chemin, les « porteuses de tablier » africaines s’efforcent d’exister en dehors des obédiences « régulières », qui n’admettent pas de femmes en leur sein.

Publié le 11 avril 2011 Lecture : 0 minute.

Ces francs-maçons qui vous gouvernent
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Ces francs-maçons qui vous gouvernent

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Les « maçonnes » se retrouvent donc dans celles où la mixité est admise – comme celle du Droit humain –, mais aussi dans les différentes loges créées par la Grande Loge féminine de France (GLFF), qui a ouvert des ateliers dans sept pays du continent. Madagascar dispose même d’une obédience nationale spécifiquement féminine, le Grand Rite malgache féminin. Comme leurs « sœurs » de France, les « maçonnes » africaines se distinguent par leur engagement fort sur certaines thématiques, comme la défense de la laïcité et la promotion des droits des femmes, notamment du droit à l’avortement.

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