Günter Wallraff, le roi de l’immersion
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Après un début de carrière dans l’écriture, la librairie puis le journalisme (avec une série de reportages sur l’industrie), Günter Wallraff, né le 1er octobre 1942 près de Cologne, réalise son premier coup d’éclat en 1977, sous le pseudonyme de Hans Esser, en dénonçant les pratiques du journal Bild-Zeitung (Le Journaliste indésirable).
Suivent diverses immersions dans le monde des travailleurs immigrés (Tête de Turc, 1985), des SDF (2009), des chefs d’entreprise peu scrupuleux, des employés précaires de la grande distribution, des call centers… Son dernier livre, Parmi les perdants du meilleur des mondes, retrace huit de ses expériences.
la suite après cette publicité
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »